Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

rabrouer \ʁa.bʁu.e\ palî tî mbenze

  1. sûku
    • « Ce sera à vous, monsieur Jean-Louis, de lui parler du bon Dieu, avait dit Joséfa, moi, il me rabrouerait, vous pensez ! » — (François MauriacLe Mystère Frontenac , 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 224)
    • […], il s’effaçait le plus possible, aussi gêné que s’il eût mendié; ce qui n’empêchait pas que des bourgeois ne le rabrouassent avec hauteur, et qu’il ne fût menacé de la police par des domestiques, aussi bouffis que leurs maîtres. — (Edmond GlesenerLe cœur de François Remy : roman - Renaissance du Livre , 1946, lêmbëtï 251)
    • Lucile trouvait normal que Diane rabrouât son amant mais ce pluriel lui sembla un peu excessif. — (Françoise SaganLa chamade , Paris : chez R. Julliard, 1965, chapitre 4)
    • Un de ses compagnons l’a rabroué dans une autre langue. — (Glen CookLe Château noir , 1984)
    • Nous le rabrouâmes derechef, mais notre contre-attaque fut vaine. L’individu revint à la charge, pour la troisième fois. — (Frédéric Delorca, Abkhazie : À la découverte d’une « République » de survivants , Éditions du Cygne, 2010, lêmbëtï 63)
    • Mais rabrouer quelqu’un revient à étouffer son cri. — (Tonio Dell’Olio, À l’école de Bartimée , 2007)
    • Quoi qu’il en soit, pour le Dr Arruda, se faire rabrouer comme ça publiquement, il ne le dira probablement jamais, mais c’était certainement très humiliant. — (Véronyque TremblayL’humiliation publique du Dr Arruda , journaldequebec.com, 24 Fulundïgi 2021)

Âlïndïpa

Sepe