Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

rentrer \ʁɑ̃.tʁe\ kürü palî

  1. kîri
    • La mer est dure et houleuse, le remorquage pénible. A midi, la remorque casse et le motor yacht me quitte fort vite en me saluant, car il désire rentrer avant l'arrivée du grain. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
    • Les truands se dissimulaient dans toutes les encoignures des maisons, et gare au bon bourgeois cousu d'or, qui rentrait trop tard chez lui. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 43)
    • Avant que le train atteignît la station de Ghéok-Tepé, je suis rentré dans le wagon. — (Jules VerneClaudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 8)
    • Daumier montre à ses lecteurs ce qui se passe lorsque les louis-philippards se rendent à la revue et veulent rentrer chez eux. Ils sont trempés par l'eau qui tombe à foison. — (Paul Ducatel, Les premières années de caricatures politiques d'Honoré Daumier 1830-1835 , éd. J. Grassin, 2000, lêmbëtï 202)
    • Il faisait un froid de gueux. Dans la ville, sous un ciel plus que sombre les rares passants se pressaient de rentrer au plus tôt chez eux ou à leur travail, pour ceux qui en avaient. — (A. M. Ivankov-Diaz, Moi, Jean Thomas Collot, fils de gueux , Lyon : L'encre et le grattoir, 2017, lêmbëtï 126)
    • Rentrer en soi-même, faire réflexion sur soi-même.
    • La Reine réfléchit un moment, comme pour rentrer en elle-même, en mettant son doigt sur ses lèvres. — (Alfred de VignyCinq-Mars , Michel Lévy frères, 1863, ch. XV)
    • Elle est rentrée dans l’armée.
  2. (Zäzämä) rokôto
    • Rentrer dans son bien, dans ses droits.
    • Rentrer dans ses débours. recouvrer les sommes que l’on a dépensées.
    • Il pleuvait, je suis rentré dans le hall pour m'abriter.
    • Faire rentrer quelqu’un sous terre, accabler quelqu’un, le confondre.
  3. ndûru, kpo
    • Un camion est rentré dans ma portière.
    • La rue est verglacée. Le voisin est rentré dans un arbre.

Âlïndïpa

Sepe