riz
Yângâ tî Breton
SepePandôo
Seperiz \ˈʁiːs\
Pandôo
Seperiz \ʁi\ linô kôlï
- (Sêndâsên, Kugbëkâsa) lôlo, lôso
- On constate par la suite une « poussée géographique du riz vers l’Indonésie, ainsi que vers le Tibet et le Japon. Au riz aquatique, ce « riz noble » auquel nous songeons le plus souvent et qui n’occupe que d’assez faibles superficies, il convient d’ajouter le riz à culture sèche, ou « riz pauvre », semé à même le sol après débroussaillement, sans aucun labourage, et qu’on trouve en particulier en Malaisie, en Indonésie, à Madagascar, ainsi que dans certaines régions de l’Inde et du Vietnam.— (François Gros, L’Ingénierie du vivant , 1990, lêmbëtï 37)
- Le riz est moissonné proche du sol. L’égrenage de cette céréale à grain vêtu fait appel à deux techniques : le chaubage sur une grosse pierre et le dépiquage sous les sabots des bœufs. — (Couscous, boulgour et polenta: Transformer et consommer les céréales dans le monde , Karthala, 2010, lêmbëtï 268)
- Le riz est la céréale la plus cultivée dans le monde… Elle constitue l’aliment de base de plus de la moitié de l’humanité. Outre son utilisation directe dans l’alimentation humaine, les grains de riz servent à fabriquer alcool, amidon et dérivés, huile, produits pharmaceutiques, aliments diététiques, etc. Les sous-produits de transformation (brisure, farine, tourteau) et la paille sont utilisés en alimentation animale. Les balles de riz servent de combustible et les cendres d’engrais. La paille est également utilisée comme litière, comme matière première pour la fabrication de pâte à papier ou encore pour la fabrication de papier mural. — (Cirad/Gret/MAE, Mémento de l’Agronome , 2002, Paris, France, Cirad/Gret/Ministère des Affaires Étrangères, lêmbëtï 799)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï