Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Des gouttes de rosée.

rosée \ʁo.ze\ linô gâlï

  1. mamïön, ngû tî pérë
    • Dans l’air rafraîchi où une impalpable brume se condensait en rosée, les bêtes levèrent leur mufle humide […]. — (« Un satyre » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Et sais-tu ce que je me disais à l’instant, en t’apercevant, si gracieuse, qui cueillais les fleurs parmi la rosée du matin ? Que les jeunes Parisiennes, et même que les houris qui nous attendent au paradis sont, à coup sûr, moins belles que toi. — (Out-el-KouloubZaheira , dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
    • Le jour se lève. La rosée tombe des arbres en grosses gouttes. Les trois hommes sont transis. Toute la fatigue de leur équipée pèse sur eux. — (G.-A. Bichet, Évadés !... , Nancy : Impr. de E. Spillmann, 1945, lêmbëtï 148)
    • La rosée commence à se déposer dès le coucher du soleil, quelques moments avant le crépuscule. Elle porte, à ce moment, le nom de serein. — (Ferdinand Piérot-Olby, « Le serein » na L’Ecole normale : journal de l’enseignement pratique , Larousse, 1858, lêmbëtï 382)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï