Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Une route de montagne. (1)

route \ʁut\ linô gâlï

  1. lêgë
    • À l’encontre des autres routes d’Europe, celles du Royaume-Uni n’avaient jamais été soumises à aucun essai organisé de redressement et d’aplanissement, et c’est à cela sans doute qu’il faut attribuer leur caractère pittoresque. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 47)
    • Dans l’intérieur, qui paraissait impraticable, des routes se sont miraculeusement ouvertes, parcourues aussitôt par des automobiles. — (Jean-Baptiste CharcotDans la mer du Groenland , 1928)
    • On déserte surtout les endroits inaccessibles […] Il faut donc s’attacher à les rendre d’un abord plus facile en multipliant partout, entre les villages et les hameaux, les petites routes. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • La vieille route est une fondrière que sauf le « piéton », porteur de la gazette ou de lettres, nul étranger n’emprunte plus… — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • Ainsi sur les 93 kilomètres de route nationale, seuls les 23 de la récente RN3 sont en excellent état ; les autres ne sont maintenus dans un état circulable qu’au prix d’un entretien lourd et dispendieux. — (Guy FontaineMayotte , Karthala Éditions, 1995, lêmbëtï 156)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï