royauté
Pandôo
Seperoyauté \ʁwa.jo.te\ linô gâlï
- sêgbïä
- Sur le continent, la lutte entre les diverses classes de la société, entre les communes et l’aristocratie, entre le serf et seigneur, appela bientôt la royauté à une nouvelle mission. — (« Angleterre. - Administration locale » na Revue des Deux Mondes , 1829, tome 1)
- La Convention nationale, constituée le 20 septembre 1792, ouvrit ses délibérations, et dans sa première séance abolit la royauté et proclama la république. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
- La royauté, chez vous, n'a jamais poussé que de tristes racines; votre sol républicain ne convient nullement à cet arbre-là. — (François-Vincent Raspail, De la Pologne — Pour une réforme agraire , 1839)
- Et puis on découvrit — ce dont on aurait pu se douter à l’avance — que le rétablissement de la royauté, à la Henri V, c’est-à-dire avec son cortège d’idées désuètes et de principes périmés, était un anachronisme que la France de 1873 ne supporterait pas un instant. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse , 1942)
- (Zäzämä) — C'est, vous le voyez, la façon dont les Rois se tirent partout de nos jours, à cette différence près qu'à présent on évite la royauté. La royauté est si peu de mode qu'on esquive la fève par tous les moyens […]. — (Gustave Fraipont, Les Vosges , 1923)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine