Yângâ tî Farânzi Sepe

Pasûndâ Sepe

rude \ʁyd\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. ngangü
  2. tî söngö-bê, tî sïönîyângâ, sïönî
    • Il avait son sac sur l’épaule, son bâton à la main, une expression rude, hardie, fatiguée et violente dans les yeux. Le feu de la cheminée l’éclairait. Il était hideux. — (Victor HugoLes Misérables , 1862, I, 2, 3)
    • Tout à coup, la voix rude de la Thénardier la rappela à la réalité : – Comment, péronnelle, tu n’es pas partie ! — (Victor HugoLes Misérables , 1862, II, 3, 4)
    • Un auteur qui a le style rude.
    • Ces vers-là sont rudes.
    • Ce peintre a le pinceau rude, il peint sans grâce.
    • Ce coiffeur a la main rude, il ne rase pas légèrement.
    • Ce cavalier a la main très rude, il mène durement son cheval.
    • Des mœurs rudes, des mœurs d’une simplicité grossière.
  3. (Mbumbuse) lônzi
    • Vous avez là un rude adversaire.
    • C’est un rude dialecticien.
    • C’est un rude jouteur, c’est un homme avec lequel il ne fait pas bon se mesurer.

Âlïndïpa Sepe