Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe

rue \ʁy\ linô gâlï

  1. lêgë, balabâla
    • Une pluie glacée tombait dans les rues miroitantes. Je marchais le long des boutiques, m’appuyant au rebord des devantures pour ne point m’écrouler sur le trottoir. — (« La Tête coupée » na Octave MirbeauLettres de ma chaumière )
    • Aux terrasses des brasseries, échelonnées du faubourg Montmartre, à la rue Drouot, de larges gouttes s'écrasaient sur le sol. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 9)
    • Il y a dans certaines villes jusqu’ici préservées, il y a de ces rues extraordinaires, remarquables tantôt par leur fourmillement et tantôt par leur silence, car la variétés des villes est infinie. — (Pierre Louÿs, « La Ville plus belle que le monument » na Archipel , 1932)
    • Rue de la Paix, des midinettes sortaient en bandes et traversaient la place Vendôme et la rue de Rivoli en se donnant le bras. — (Paul NizanLa Conspiration , 1938, lêmbëtï 51)
    • Émile vit dans une ville, petite, quiète, une ville aux rues propres, aux trottoirs nets et les façades des maisons rénovées, excepté quelques-unes dans les ruelles au nord. — (Marcelle Gay, Profil perdu , L'Âge d'Homme, 1984, lêmbëtï 38)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï