Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

ruse \ʁyz\ linô gâlï

  1. porosö, mayëre
    • La férocité ancienne tend à être remplacée par la ruse et beaucoup de sociologues estiment que c'est là un progrès sérieux ; quelques philosophes qui n'ont pas l'habi­tude de suivre les opinions du troupeau, ne voient pas très bien en quoi cela constitue le progrès au point de vue de la morale. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , 1908, Chap.VI La moralité de la violence, p.271)
    • Privé de tout accommodement, de ses fards, de ses sourires et de ses ruses, le vice a peu de chance de séduire la vertu la plus chancelante. — (Francis Carco, « Images cachées » na 1929 , préface)
    • Toutes les ruses, il les imagine et les déploie avec un machiavélisme qui parfois lui pèse. — (Michel DroitDe Lattre, maréchal de France , Pierre Horay, éditions de Flore, 1952, lêmbëtï 81)
    • Ruses innocentes : Petites finesses que l’on emploie sans mauvaise intention.
  2. ndarä na hânda
    • Ce brigand était plus célèbre pour sa ruse que pour son courage.
    • Il est plein de ruse et de malice.
    • Il a de la ruse.

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï