Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Deux sœurs (1).
 
Une bonne sœur (2).

sœur \sœːʁ\ wala \sœʁ\ linô gâlï

  1. îtä, îtä-wâlï
    • Elle désire une sœur, une grande, une petite, peu importe, elle désire parler avec Sa Sœur, jouer avec elle, se disputer avec elle, dormir dans la même chambre qu'elle, faire les bazarettes le soir au lieu de dormir, […]. — (Claudine Galea, Les choses comme elles sont , Éditions Verticales (Gallimard), 2018)
  2. masêre
    • La femme d’un frère mort sans enfants, si elle est reçue sœur , jouit de l’usufruit entier des biens du défunt, à l’exception des bagues et joyaux, qui doivent être remis à l’association. — (Archives parlementaires de 1787 à 1860: recueil complet des débats législatifs & politiques des chambres françaises imprimé par ordre du Sénat et de la Chambre des députés, Première série (1787 à 1799), tome 22 , Librairie administrative de Paul Dupont, 1885, lêmbëtï 393)
    1. (Nzapä) (Mbîrîmbîrî nî) masêre
      • Je quitte le lieutenant licencié et regagne le couvent, où la sœur converse m'annonce qu'un ami est venu me demander. — (Jean GiraudouxRetour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
      • C'est infect, Saint-Lazare. Les sœurs vous traitent plus bas qu'tout. Elles vous insultent […]. — (Francis CarcoImages cachées , 1928)
      • Moins l'habit et la cornette, c'est une sœur de la charité qui pose des ventouses, des cataplasmes, applique des sinapismes, masse les rhumatisants, ensevelit les morts. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï