s’asseoir
Palî
Sepes’asseoir \s‿a.swaʁ\
- dutï
- Elle le salua sans lui parler, une simple inclination, un signe de sa main l'invitèrent à s’asseoir ; […]. — (Marie-Jeanne Riccoboni, Histoire d’Ernestine , 1762, édition Œuvres complètes de Mme Riccoboni, Foucault, 1818, tome I)
- Elle s’assit sur une chaise, lourdement. Un eût dit qu’une fatigue, tout d’un coup, lui avait cassé les membres. — (« La Bonne » na Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière , 1885)
- (Lenge) Je lui passai la chaîne autour du cou, puis, nous étant assis, nous mangeâmes de bon appétit. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813 , J. Hetzel, 1864)
- Nous nous asseyons autour d'une table où une place reste vide : celle du ministre de la Guerre. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires , 1942, I, Ma jeunesse orgueilleuse)
- Dans la salle à manger, marron et or, pleine de lumières, je me suis assis à la table d’hôte. C’est un scintillement général, un brouhaha, le grand empressement vide du début des repas. — (Henri Barbusse, L’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï