Bâa ngâ : salöon

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Le salon d'un appartement (sens 1).
 
Un salon du vin (sens 4).

salon \sa.lɔ̃\ linô kôlï

  1. (Kubû, Da) salöon
    • Quelle diversité dans mes journées ! La classe de Louis-le-Grand, les palabres de l’œuf à la coque, ma cellule communiste du quai de Javel, le tennis d’Auteuil, le salon de Tante Reine, la bibliothèque de l’Oncle… — (Pierre-Henri SimonLes Raisins verts , 1950)
    • De jour, le corridor était dans la pénombre et c'est presque à tâtons qu'on trouvait la clinche du salon d'attente. — (Georges SimenonLe voyageur de la Toussaint , Paris : Gallimard, 1941, chapitre 2)
    • Salon de musique.
    • J’imagine que cette pièce avait l’aspect mi-chapelle, mi-chambre d’amour qu’eurent si souvent les salons de musique de l’époque, avec leurs vitraux et leurs divans couverts de tapis turcs. Peut-être même y brûlait-on l’encens. — (Marguerite YourcenarSouvenirs pieux , 1974, collection Folio, lêmbëtï 319)
      • L’ouverture, la clôture du salon.
      • Il a exposé ce tableau au dernier salon.
      • Les salons de Diderot.
      • Ce critique fait le salon dans tel journal.

Âkpalêtôngbi

Sepe

Âlïndïpa

Sepe