Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

samedi \sam.di\ linô kôlï

  1. lâpôso
    • Cette avance du déjeuner donnait d’ailleurs au samedi, pour nous tous, une figure particulière, indulgente, et assez sympathique. — (Marcel ProustDu côté de chez Swann , 1913)
    • Le 19 septembre de l’an 1846, la Vierge s’était montrée à deux enfants sur une montagne, un samedi, le jour qui lui était consacré et qui était, cette année, un jour de pénitence, à cause des Quatre-Temps. — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
    • On ne fait plus d’enfants, chez nous, sauf dans les coins pouilleux, dans les milieux de misère, certains samedis de paye, après stations devant les comptoirs des bistrots. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 75)
    • Il faut, pour chaque mois, tenir compte du nombre de samedis, jour où les mariages sont, de très loin, les plus nombreux, de celui des lundis, où la nuptialité est, aussi, supérieure à la moyenne, enfin, des dimanches, où aucun mariage n'est, bien-sûr, célébré. — (François Ronsin, « Guerre et nuptialité : Réflexions sur l'influence de la seconde Guerre mondiale, et de deux autres, sur la nuptialité des Français » na Population & sociétés , INED, 1995, vol. 50-1, page 129 - note 6)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Kreöol tî Larënïon Sepe

Pandôo Sepe

samedi \sa.me.di\

  1. lâpôso