savate
Pandôo
Sepesavate \sa.vat\ linô gâlï
- pâpä, sapâto
- Le nom de famille de ce fonctionnaire était Savatkine. Déjà au nom on voit qu’il a été formé, jadis, d’une savate ; mais quand, à quelle époque et de quelle façon est-il venu, de cette savate, cela, personne n’en savait rien.— (« Le manteau » na Nikolaï Gogol, Les nouvelles de Petersbourg , gbïänngö tî André Markowicz, 1835;réédition Éditions Acte Sud, 2007, lêmbëtï 202)
- Elle avait les pieds nus dans des savates et Émilienne remarqua que ces pieds étaient sales, comme la maison où tout était en désordre.— (Georges Simenon, Le Blanc à lunettes , 1937, VIII)
- […] les traîneurs de savates à teint bronzé et longue chemise de nuit ; […]— (Michel Leiris, L’Âge d’homme , 1939, collection Folio, lêmbëtï 139)
- Traîner la savate.
- kpöngö-gobo tî Farânzi
- Gaby Irvoas confiait il y a quelques jours : « Cette saison s'est fort bien terminée pour nos jeunes savateuses et savateurs. Depuis plusieurs années, l'école de savate de la MJC présente des compétiteurs et compétitrices jusqu'en finale du championnat de France.— (« Savate et boxe française. Une nouvelle appellation » na Télégramme de Brest (www.letelegramme.fr) , 21 Kükürü 2013, page Quintin)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï