Yângâ tî Farânzi

Sepe

Penzelö tî palî

Sepe

se débiner \sə de.bi.ne\ palî polïpa

  1. kpë
    • Qui se bat en ce moment à la caserne ? demanda l’officier. — Les officiers, les nouveaux. Les copains, eux, se débinent où ils peuvent. Doit y en avoir plein la cave. — (André MalrauxL’Espoir , Gallimard, 1937, lêmbëtï 463)
    • Mais il ne tarda pas à se dégonfler et se débina dans la direction d’une place vide encore. — (Raymond QueneauExercices de style , 1947, lêmbëtï 170)
    • Y avait plus personne dans notre escalier, ni dans la boutique non plus. Tout le monde était débiné… Ils devaient être rentrés chez eux. — (Louis-Ferdinand CélineMort à crédit , Denoël, Paris, 1936, lêmbëtï 392)
    • — Maintenant, dit Bruneau […] débinez, et plus vite que ça ! — (Paul VialarLe Petit Jour , 1947, lêmbëtï 40)
    • […] ils savent pas qui on est. Comme ils doivent jouer chero, plutôt qu’d’ouvrir, ils préfèreront planquer leurs dés et s’débiner. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
    • Le gars a fait la gueule. Il voyait son pourliche se débiner. — (Jo BarnaisMort aux ténorsSérie noire, Gallimard, 1956, chapitre XIX, lêmbëtï 168)

Âlïndïpa

Sepe