se désister

Yângâ tî Farânzi

Penzelö tî palî

se désister \sə de.zis.te\ palî polïpa

1. (Sêndâ ndïä) ke
   • Il est de ceux qui en présence de la malveillance ou de la malignité se désistent, non par lâcheté (nous avons vu qu’il n’était pas lâche), mais par dégoût d’argumenter avec un insolent ou un butor, par fierté, peut-être par un fonds d’indifférence qui le fait renoncer à ce qu’il possède ou à ce qu’il désire, avec le sentiment qu’après tout il ne l’aurait pas possédé longtemps ou ne le désirait pas tant que ça. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord , Gallimard, 1977, âlêmbëtï 177-178)
   • Se désister d’une prétention, d’une demande.
   • Se désister d’appel.
   • (Bîanî) — Il lui a fallu se désister.
   • (Könöngö) — Se désister d’une candidature à un poste, à une dignité.

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine