Yângâ tî Farânzi

Sepe

Penzelö tî palî

Sepe

se marier \sə ma.ʁje\

  1. mû terê, mû wâlï, mû kölï
    • Il est d’âge à se marier.
    • Quand vous marierez-vous ?
    • Il ne se mariera pas.
    • Et quand elle sera sortie de sa maison, et que s’en étant allée, elle se sera mariée à un autre mari; Si ce dernier mari la prend en haine, et lui donne par écrit la lettre de divorce, et la lui met en main, et la renvoie de sa maison, ou que ce dernier mari qui l’avait prise pour sa femme, meure ; Alors son premier mari qui l’avait renvoyée, ne pourra pas la reprendre pour sa femme, après avoir été cause qu'elle s’est souillée ; car c’est une abomination devant l’Éternel ; ainsi tu ne chargeras point de péché le pays que l’Éternel ton Dieu te donne en héritage. — (Deutéronome 24:2-4 , version Martin, 1744)
    • —As-tu remarqué, continua-t-il sérieusement, qu’il y a deux catégories d’hommes qui ont la rage de se marier de bonne heure, quoique leur situation les mette dans l’impossibilité certaine soit de vivre avec leurs femmes, soit de les faire vivre : ce sont les marins et les gens qui n’ont pas le sou. — (Eugène FromentinDominique , L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, lêmbëtï 189)
    • « Te rappelles-tu ce passage de saint Paul que je t’ai cité au sujet du mariage ? reprit David.
      – « Mieux vaut se marier que de brûler », cita Joseph.
      — (Julien GreenMoïra , 1950, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 182)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï