se rendre
Penzelö tî palî
Sepese rendre \sə ʁɑ̃dʁ\ palî polïpa
- gue
- Deux marchands qui se rendent au camp nous demandent la permission de voyager avec nous pour plus de sécurité. Elle leur est accordée, […]. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 52)
- Celui-ci se rendit, vers 1121, en Palestine, avec d’autres rabbins et il mourut en cours de route. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- Et comme cet avorton levait le nez en notre direction, Bob aussitôt se rendit à sa table où tous deux, me parut-il, avaient à parler. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Le lendemain, je me rendis à bord du Rochester, où une quarantaine d’officiers, réunis à leur mess autour d’une table immense, me firent une excellente réception. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
- Pour procéder méthodiquement, il commença par se rendre chez le maire et s’enquit de l’état des sources alimentant la commune. — (« Un petit logement » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- zîa birä
- Cela ne constitue pas un armement bien formidable, mais au moins nous sommes à l’abri de la nécessité de nous rendre à la première sommation, si nous venions à être attaqués par un parti de flibustiers. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 46)
- On la dévasta, comme, au siècle précédent, on avait bombardé d’immenses agglomérations barbares, et parce qu’elle était à la fois trop forte pour être occupée par le vainqueur et trop indisciplinée, trop orgueilleuse pour se rendre dans le but d’échapper à la destruction. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 242)
- La fin du FIS ? - À Bab-El-Oued, un fissiste me prévient : « Les vrais islamistes ne se rendront jamais. » — (Élisabeth Schemla, Mon journal d'Algérie : novembre 1999-janvier 2000 , Éditions Flammarion, 2000, lêmbëtï 141)
- gä
- Il se fabriquait une étrange réputation, personnage de légende qui voyait à travers le brouillard, savait se rendre invisible aux gabelous, capable de tout ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- Comment se fait-il, citoyen Proudhon, que vous, l’éclaireur avancé de la Révolution et de l’avenir, vous vous soyez rendu coupable de cet anachronisme : Vive l’empereur ! — (Jean-Claude Colfavru, « Ne criez pas Vive l'empereur » na Les Veillées du Peuple , Mbängü 1850, nömörö 2, lêmbëtï 85)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine