sec
Pasûndâ
Sepesec \sɛk\ linô kôlï
- kürü
- Ainsi que cela se produisait chaque fois qu’il avait trop pompé le jour d’avant, il se sentait la tête un peu fiévreuse, le front chaud, les nerfs excités et la gorge sèche. — (« Joséphine est enceinte » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Chaque période interglaciaire amène un adoucissement du climat, qui prend le type froid et sec ou bien doux et humide. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes , Armand Colin, 1933, lêmbëtï 58)
- Les floraisons intempestives ne sont pas rares, à la suite des printemps ou des étés secs, auxquels succèdent quelques journées de pluies abondantes. — (Pierre Joigneaux, Causeries sur l’agriculture et l’horticulture , La Maison rustique, Paris, 1864, lêmbëtï 152)
- La terre que je cultive, située sur le territoire de Chanteheux, se monte à 500 jours de terre (100 hect.), et 140 fauchées de prés (28 hect.) ; le terrain est sec, sablonneux et graveleux. — (Paul Genay, « Monographie de la commune de Chanteheux (Meurthe-et-Moselle) » na Monographies de communes , concours ouvert en 1897 par la Société des agriculteurs de France, J. Lefort - A. Taffin-Lefort, successeur, Paris & Lille, 1898, lêmbëtï 285 (appendice))
- Avoir la bouche sèche, la langue sèche, la gorge sèche, les lèvres sèches. — Avoir la peau sèche, les mains sèches.
- Ophtalmie sèche.
- Avoir une toux sèche
- Régime sec
- ôko
- Pain sec
- Manger son pain sec.
- Manger du pain tout sec.
- On l’a mis au pain sec et à l’eau.
- Perte sèche
- Il avait mis vingt mille francs dans cette entreprise, il en retirera tout du plus le quart, c’est une perte sèche de quinze mille francs.
- ôko
- Avoir un atout sec, un manillon sec.
Pandôo
Sepesec \sɛk\ linô kôlï
Mbasêlî
Sepesec \sɛk\
- na ngangü
- Boire sec
- Répondre sec, parler sec à quelqu’un
- Tout sec
- Cette terre lui donne tout sec dix mille francs de revenu.
- Il aurait préféré être en uniforme, et même assis sur le banc des remplaçants, quitte à ne pas jouer du tout, plutôt que de traîner « en civil » avec des inutiles comme nous, tandis que ses copains se faisaient frotter les oreilles et que ça cognait sec dans les affrontements entre avants, en bas, à quelques mètres de lui, sur l’herbe boueuse. — (Philippe Labro, L’étudiant étranger , Gallimard, 1986, lêmbëtï 67)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï