septembre
Pandôo
Sepeseptembre \sɛp.tɑ̃bʁ\ wala \sɛ.tɑ̃bʁ\ linô kôlï
- Mvuka
- Septembre s’achevait en journées plus courtes et moins brûlantes, mais dorées et magnifiques. — (Pierre-Henri Simon, Les Raisins verts , 1950)
- Là je trouvai des baraques de carton, ouvertes à tous vents ; nous n’étions encore qu’à septembre. — (Alain, Souvenirs de guerre , Hartmann, 1937, lêmbëtï 188)
- Lorsqu’arrivait le mois de septembre et que chaque branche de cotonnier brandissait sa houpette blanche, Zariffa et Ahmed Abdou prenaient part à la cueillette, ainsi que tous les habitants du village. — (« Zariffa » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- À partir du 16 septembre, le fort de la Pompelle […] est désigné comme cible aux soldats français qui le prennent d’assaut le 23 septembre au prix d’innombrables vies. — (Fabienne Tisserand et Frédéric Hermann, Voyage au pays du souvenir : 1914–1918 , Renaissance du Livre, 2003, lêmbëtï 158)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
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Sepeseptembre \sêndagô ?\