Bâa ngâ : , sîi,

Yângâ tî Bambara Sepe

Pandôo Sepe

si \sêndagô ?\

  1. (Sêndâ-saterê) kûâ tî li

Yângâ tî Farânzi Sepe

Sëtëpande Sepe

si \si\

  1. töngana
    • Si j’étais riche, je m’achèterais une maison.
    • Je vous donnerai tant, si vous faites ce que vous m’avez promis.
    • Je vous récompenserai, si je suis content de vous.
    • Si vous venez me voir, vous serez bien reçu.
    • Il dit que si vous partez, il vous suivra.
    • Si les choses en sont là, on ne peut plus y porter remède.
    • Il viendra s'il peut, s’il fait beau.
    • Ils auront tort, s'ils se fâchent de cela.
      • S'il revenait et qu’il fît une réclamation, vous seriez fort embarrassé.
      • Il parle comme s'il était le maître, Comme il parlerait s'il était le maître.
      • Il est plus content que si on l’avait couvert d’or, Qu’il ne le serait si on l’avait couvert d’or.
  2. âdu
    • Si je suis gai, si je suis triste, c’est que j’en ai sujet.
    • Si cet homme est pauvre, est-ce une raison pour le mépriser ?
    • Si l’un est vieux et faible, l’autre est jeune et fort.

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï