sillonner
Palî
Sepesillonner \si.jɔ.ne\ palî tî mbenze
- (Zäzämä, Könöngö) fono
- Ce fut pour moi le début d’une longue errance à travers Paris, à la recherche de celle qui m’obsédait de plus en plus. Je sillonnais la ville avec méthode, arrondissement par arrondissement, quartier par quartier, rue par rue, station de métro par station de métro. — (Amélie Nothomb, Cosmétique de l’ennemi , 2001, Paris: Éditions Albin Michel, âlêmbëtï 62).
- « GAI COMME LE CANAL ». Cette expression d’effroi glacé n'est pas usurpée quand nous prend l’idée saugrenue de sillonner les parties les plus urbaines des canaux de l’Ourcq et de Saint-Denis. — (C.D.S., « Les canaux aussi » na site Le Parisien (www.leparisien.fr) , 11 Ngubê 2001)
- Au-dehors, les chiens sillonnent la pelouse en se disputant un vieux ballon de foot. — (Éric-Emmanuel Schmitt, L'Homme qui voyait à travers les visages , 2016, ch. 20)
- Il me suffirait de suivre le vieux, le long de la rue Mitjaville, sillonner dans les escaliers, exiger qu'il prenne du cash à la tirette de la Banque Populaire, et le braquer sans violence. — (Justine Bo, Onanisme , Éditions Grasset, 2019)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine