Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

sobriquet \sɔ.bʁi.kɛ\ linô kôlï

  1. ndurü ïrï
    • Sa mère s’appelait Jeanne Mathieu ; son père s’appelait Jean Valjean, ou Vlajean, sobriquet probablement, et contraction de Voilà Jean. — (Victor HugoLes Misérables)
    • Il aura beau finasser, trancher du gentilhomme, payer des généalogistes pour lui attribuer une origine princière, peine perdue : le sobriquet, obstiné corbeau, croassera de toute la puissance de son gosier et dévoilera la provenance de l'oiseau. — (Nicolas GogolLes Âmes mortes , 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
    • Il était prénommé Victor, mais comme il est coutume de donner aux plus jeunes des sobriquets d’amitié et qu’il était retors et rusé comme un renard, on l’avait surnommé le Tors. — (Louis Pergaud, « Une revanche » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Et quand en 1840, notre vin de Moselle ne fut qu'un âpre verjus, nos vignerons, par dérision et par haine du Prussien, donnèrent sarcastiquement à ce vin imbuvable le sobriquet de : Hassenpflug. — (Culture française , Association internationale pour la culture française, 1966, n°15/16, lêmbëtï 17)
    • Leurs premiers mots furent des moqueries à l'encontre du boche, du chleuh, du vert-de-gris, du doryphore, chacun y allant d'un sobriquet le plus méprisant possible pour qualifier l'allemand pincé par une étrille. — (Philippe Lhommet, Cauchois d'hier et d'autrefois , TheBookEdition, 2013, lêmbëtï 153)

Âlïndïpa Sepe