Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Enseigne d'un café qui se proclame « assurance contre la soif ».

soif \swaf\ linô gâlï

  1. nzara tî ngû, güënngû
    • N’avez-vous pas faim et soif, seigneur archer ? reprit la jeune fille ; mettez-vous donc à cette table, et buvez et mangez ; c’est moi qui vous y invite. — (Alexandre DumasOthon l’archer , 1839)
    • Il y avait deux longues heures que nous marchions, dans les champs, sous le soleil qui tombait du ciel comme une pluie de feu ; la sueur ruisselait sur mon corps et la soif, une soif ardente, me dévorait. — (« Le Père Nicolas » na Octave MirbeauLettres de ma chaumière , 1885)
    • Avez-vous parfois enduré cette trinité de supplices : la faim, la soif, la chaleur ?... Avez-vous eu en même temps l’estomac creux, le gosier sec, le crâne en feu ? — (Gustave FraipontLes Vosges , 1895)
    • La poussière de craie donnait soif et cet automne était chaud. Je me souviens d'avoir bu un jour peut-être dix quarts de bouillon brûlant pris à la cuisine roulante. — (AlainSouvenirs de guerre , page 111, Hartmann, 1937)
    • Je les ai vus, ceux qui ont souffert de la soif, la soif, jalousie de l'eau, plus dure que la maladie, car le corps connaît son remède et l'exige comme il exigerait la femme, et voit en songe les autres boire. — (Antoine de Saint-ExupéryCitadelle , (1948), XXXI)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï