Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

sommeiller \sɔ.me.je\ kürü palî

  1. längö
    • Sa femme gardait Abel endormi. Moïna, posée sur la bergère comme un oiseau dans son nid, sommeillait insouciante. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Il accordait à son frère une grande habileté. Selon lui, ce gros garçon endormi ne sommeillait jamais que d’un œil, comme les chats à l’affût devant un trou de souris. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , G. Charpentier}, Paris, 1871, chapitre III} ; réédition 1879, pages 98-99)}
    • Ribadier. — C’est égal ! on a bien raison de dire que tout homme a au fond de soi un poète qui sommeille !
      Thommereux. — Permets ! On n’a jamais dit un poète ! On a dit : "Un cochon".
      Ribadier. — Tu crois ?… Enfin, je savais bien que c’était quelque chose comme ça !…
      — (Georges FeydeauLe Système Ribadier , 1892, acte II, scène 5)
    • J’ai sommeillé comme un bienheureux hier dans le parc, dans cette tiédeur universelle, parmi cette fraîcheur vivante des plantes.— (Hippolyte TaineCarnets de voyage : Notes sur la province, 1863-1865 , Hachette, 1897)
  2. (Pagao, Könöngö) längö
    • La nuit, quand tout sommeille.

Âlïndïpa

Sepe