Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

songe \sɔ̃ʒ\ linô kôlï

  1. sümä
    • Saint Grégoire de Nysse, adversaire des Oniroscopes, ne voyait dans les songes qu'un ébranlement passager des facultés de l'âme, dû à un souvenir des émotions qu'on venait de ressentir, et il comparait poétiquement l'esprit de l'homme agité par un rêve à la corde de la harpe qui vient de jeter un son et qui vibre encore lorsque le son s'est évanoui. — (Ferdinand Denis, « Sciences occultes » na Paul Lacroix & Ferdinand Seré, Le Moyen-âge et la Renaissance , Paris, 1849, tome 2 : Histoire et description des mœurs et usages, du commerce et de l'industrie, des sciences, des arts, des littératures et des beaux-arts en Europe)
    • À mon réveil, il me semble que je sors d’un mauvais rêve. Il ne s’agit point de ces songes qui demandent à être interprétés d’après les principes de la Clef d’Or […] Mais cela disparaît avec les vapeurs de la nuit. Les songes ne sont point des photographies inaltérables : ils « passent » au soleil et finissent par s’effacer. — (Jules VerneClaudius Bombarnac , 1892, lêmbëtï 19)

Âlïndïpa

Sepe