suave
Pasûndâ
Sepesuave \sɥav\ linô kôlï wala linô gâtï
- pendere
- Toujours il croyait entendre résonner à son oreille les notes suaves et mélodieuses de la voix de la jeune fille, quelque effort qu’il fit pour oublier ; […]. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
- Les tons suaves de sa voix, et la douceur de sa réponse, éveillèrent dans l’auditoire un sentiment de pitié et de sympathie. — (Walter Scott, Ivanhoé , gbïänngö tî Alexandre Dumas, 1820)
- Il pleura, […], n'osant plus contempler ce salon qui naguère lui offrait le tableau le plus suave du bonheur domestique. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans , 1855)
- Tout à coup elle s'arrêta dans l'escalier : une suave odeur de fricot venait de saisir son odorat. — (Alphonse Karr, Voyage autour de mon jardin , 1857)
- Maillat n'entendait pas ce que disait Pierson. Il écoutait sa voix. Il avait une voix vraiment suave, Pierson. Elle coulait sans heurt, sans accroc. Elle roulait doucement, comme de petites billes d'acier dans un bain d'huile. — (Robert Merle, Week-end à Zuydcoote , 1949, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 38)
- J'entends un petit air de radio, suave comme une patte de chat. — (San-Antonio (pösäïrï tî Frédéric Dard), Bas les pattes! , Éditions Fleuve noir, 1954, chapitre XVII)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine