Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

succion \syk.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. süngö
    • Cette fois le président mangea de meilleur appétit et accepta même un cigare Cohiba dont on m’avait offert, il y a quelque temps, une boîte. Je déteste l’odeur des cigares et le style de la plupart des gens qui les fument. Mais, ce soir-là, le président s’enfouit avec un tel bonheur dans ce gros module, le tétant jusqu’à la garde, que j’endurais avec sérénité les effluves puants qui bleuissaient l’air après chacune de ses succions. — (Jean-Paul DuboisVous plaisantez, Monsieur Tanner , Éditions de l’Olivier, 2006, lêmbëtï 198)
    • La délicatesse du toucher, la finesse de l’odorat, la facilité du mouvement et la puissance de succion se trouvent donc à l’extrémité du nez de l’éléphant. — (Georges-Louis Leclerc de Buffon, « Histoire naturelle des animaux » na « L’éléphant », in Œuvres , Bibliothèque de la Pléiade, 2007, lêmbëtï 927)
    • Jusqu’à tout récemment, on distinguait deux catégories de succion : une succion nutritive, lorsqu’on entend le bébé avaler régulièrement, et une succion non nutritive, lorsqu’on observe une alternance de vagues de succion et de pauses, avec un apport minimal en lait. — (Micheline Beaudry, Sylvie Chiasson & Julie Lauzière, Biologie de l’allaitement: Le Sein - le Lait - le Geste , Presses de l’Université du Québec, 2007, lêmbëtï 87)

Âlïndïpa

Sepe