Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Depuis la seconde moitié du XXe siècle, la colombe est fréquemment utilisée comme symbole de la paix

symbole \sɛ̃.bɔl\ linô kôlï

  1. simböol, limo, pëli
    • Les vieux symboles chrétiens, tant expliqués, tant traduits, présentent à l'esprit, dès qu'on les voit, une signification trop claire. Ce sont des symboles austères de mort, de mortification. — (Jules MicheletDu prêtre, de la femme, de la famille , 3e éd., Hachette & Paulin, 1845, lêmbëtï 181)
    • — Qu’est-ce qu’un symbole ? D’après Littré, c’est « une figure ou une image employée comme signe d’une autre chose » ; nous autres, catholiques, nous précisons encore cette définition en spécifiant, avec Hugues de Saint-Victor, que « le symbole est la représentation allégorique d’un principe chrétien, sous une forme sensible ». — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915, ch. V)
    • Fierté des maîtresses de maison formées aux traditions familiales, la blanquette est, révérence gardée, à la cuisine française ce que Molière est au théâtre. Un symbole, un modèle éternel qui fait école, une sorte de mémoire collective. — (Sylvie Girard-Lagorce, Grandes et petites histoires de la gourmandise française: traditions et recettes , Plon, 2003, De Borée, 2005, lêmbëtï 95)

Âlïndïpa

Sepe