téton
Pandôo
Sepetéton \te.tɔ̃\ linô kôlï
- (Sêndâ-saterê) lime
- Il ne lui fut pas difficile de m’en guérir et d’effacer cette petite honte ; mais au moment que j’étais prêt à me pâmer sur une gorge qui semblait pour la première fois souffrir la bouche et la main d’un homme, je m’aperçus qu’elle avait un téton borgne. Je me frappe, j’examine, je crois voir que ce téton n’est pas conformé comme l’autre. — (Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions , 1782-1789, Livre VII)
- Pourvu que je foutisse un jeune con, que m'importait ?... J'allai nu au lit ; je trouvai des tétons naissants, un conin qui tressaillait. Je dépucelai... — (Nicolas Edme Restif de La Bretonne, L'anti-Justine ou Les délices de l'amour , chapitre VI)
- Elle avait de tout petits tétons
Que je tâtais à tâtons,
Ton ton tontaine! — (Albert Willemetz, Valentine , 1925 (chanson connue pour avoir été interprétée par Maurice Chevalier)) - – Je ne sais pas si elle a de l’avenir, mais elle a une embardée du train qui n’est pas dégoûtante, et des tétons, nom de chien ! — (Marcel Aymé, La Jument verte , Gallimard, 1933, collection Le Livre de poche, âlêmbëtï 162-163)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine