tabac à priser
Penzelö tî pandôo
Sepetabac à priser \sêndagô ?\ linô kôlï
- mânga tî hên
- Ces caboches ne sont pas perdues, mais utilisées pour la fabrication du tabac à priser. On fait un premier mouillage des feuilles, destiné à les assouplir. Puis on examine chaque feuille une à une, c'est ce qu'on appelle l’époulardage. — (Aimé Riant, L'alcool et le tabac , Paris : Librairie Hachette, 1879, lêmbëtï 143)
- On les a surnommées les Dames aux chapeaux verts… Elles sont aussi grotesques que surannées… Je ne les ai guère vues qu’aux cérémonies de la famille : les enterrements et les mariages… Mais je suis persuadée qu’elles sentent le tabac à priser et la naphtaline !… — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts , Plon, 1922, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 14)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï