Pandôo

Sepe

taro \ˈtæɹ.oʊ\ wala \ˈtæɹ.əʊ\

  1. (Bangë) langä; Âmângbi tî pöpöködörö: Colocasia esculenta (Araceae)

Âlïndïpa

Sepe

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe
 
Du taro (1).
 
Champ de taro (2) à Kauai

taro \ta.ʁo\ linô kôlï

  1. (Bangë) langä
    • Comme hors-d’œuvre, il y avait du poisson crû […] et aussi du « poi » de taro qui est le plat favori des Hawaïens et était de la purée de taro mélangée à des bananes. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du Soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti, lêmbëtï 194)
    • Pour l’économiste, il s’agit cependant l’apporter le progrès en organisant la diversification de la production, exclusivement centrée sur la monoculture vivrière du taro, un tubercule qui sert en même temps de monnaie d’échange. — (Laurent Cordonnier, « L’Économie des Toambapiks » na Le Monde , 7 Föndo 2010 → dîko mbëtï)
    • À l’entrée de l’exposition, les commissaires ont justement placé un pétroglyphe millénaire gravé dans une garniérite, la roche d’où l’on extrait le nickel, ce "roi nick" dont la Nouvelle-Calédonie possède un quart des réserves mondiales. Le dessin est celui d’une igname stylisée : plus que des tubercules nourriciers, l’igname et le taro sont "la chair des ancêtres" kanak. — (Véronique Mortaigne, « Ce que nous disent les œuvres kanak » na Le Monde , 18 Kakauka 2013 → dîko mbëtï)
    • Les tamaa araa (banquets) sont l’occasion de goûter aussi au cochon rôti, aux bananes fei (à chair rouge), au taro (tubercule), à l’umara (patate douce) et à l’uru (fruit de l’arbre à pain), cuits à l’étouffée dans le ahimaa, four tahitien creusé dans le sol. — (« Carnet de route » na Le Monde , 22 Nabändüru 1997 → dîko mbëtï)

Pandôo 2

Sepe

taro \ta.ʁo\ linô kôlï

  1. ngêrë
    • 15 € le plat du jour ? C’est un peu cher comme taro

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï