Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

taxe \taks\ linô gâlï

  1. (Mozën tî Angelëe) kiri, lamböo
    • La taxe sera calculée en prenant cette charge complète comme unité, quels que soient le nombre et le cubage des wagons réellement employés pour le transport. — (Bulletin de la Commission internationale du Congrès des chemins de fervolume 1, éditions P. Weissenbruch, 1887, page 1077 )
    • […]; les taxes impopulaires, abolies en juin 1908 en don de joyeux avènement, avaient été rétablies et considérablement renforcées. — (Frédéric WeisgerberAu seuil du Maroc Moderne , Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, lêmbëtï 194)
    • Un système complexe de taxes permettait au gouvernement, aux aristocrates et aux religieux de profiter du travail de la plus grande partie de la population. — (Louis Dubé, « La sagesse du dalaï-lama : Préceptes et pratique du bouddhisme tibétain » na Le Québec sceptique , n° 66, été 2008, lêmbëtï 5)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï