Bâa ngâ : táxi, Taxi

Angelë Sepe

Pandôo Sepe

taxi \ˈtæk.si\

  1. (Yöngö) takisïi

Âlïndïpa Sepe

Yângâ tî Ênnde Sepe

Pandôo Sepe

taxi \ˈtak.si\

  1. (Yöngö) takisïi

Espanyöl Sepe

Pandôo Sepe

taxi \sêndagô ?\

  1. (Yöngö) takisïi

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un taxi à Calcutta (Kolkata), Inde.

taxi \tak.si\ linô kôlï

  1. (Yöngö) takisïi
    • Nous descendîmes, le long des devantures baissées, la rue noire et déserte lorsqu’un taxi que j'arrêtai, se rangea contre le trottoir, nous chargea et sur la seule indication: « Au bal du Saint-Martin », partit à toute allure. — (Francis CarcoImages cachées , 1928)
    • Le soir, dédaignant les taxis, je rentrais à bord presque toujours en courant pour me maintenir en bonne condition physique. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti , 1929)
    • Certains fiacres furent munis d’un compteur qui indiquait le prix de la course ; donc plus de marchandages ! Ils étaient signalés par des lanternes bleutées. On les appelait les taximètres. Enfin, apparurent les automobiles de louage qui prirent le nom de taxis. — (Édouard BledJ’avais un an en 1900 , Fayard, 1987, lêmbëtï 176)
    • Cahin-caha, après avoir déposé tous ses passagers palestiniens et franchi encore quelques passages difficiles sur une route semée de chicanes, de ralentisseurs et de nids-de-poule, le taxi atteint notre troisième checkpoint, Zatara. — (Anne Brunswic, Bienvenue en Palestine: Chroniques d’une saison à Ramallah , Éditions Actes Sud, 2017)
  2. (Tôngbi) wagbötöngö takisïi
  3. (Sêndâlaparä) laparäa-pûpûlenge, laparä
    • Aide-moi à rentrer le taxi dans le hangar !
    • Pendant la Seconde Guerre mondiale, au lieu de dire qu’il ne restait que quatre chasseurs Spitfire (par exemple !), on disait alors : « il ne nous reste que quatre taxis ! »

Âlïndïpa Sepe