Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

tenue \tə.ny\ linô gâlï

  1. (Yüngö-bongö) yüngö-bongö, maräbongö
    • Il était entièrement vêtu de casimir noir, ainsi qu’il convient à un notaire. Mais comme on se trouvait au plus fort de l’été, M. Bernard avait cru pouvoir égayer sa tenue sévère d’une ombrelle d’alpaga blanc. — (Octave Mirbeau« La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière , 1886)
    • Sur le pont, en tenue légère, étaient des matelots américains, tous abondamment tatoués. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
    • Sa tenue suffisait à prouver qu’il ne pensait point à rendre visite à ses voisins : des bottes de roulier dont les tirants pendaient, une lévite d’un vert bouteille défraîchi, un carnier en bandoulière, et sa fourchetine sous le bras. — (Alphonse de ChâteaubriantMonsieur des Lourdines , 1910, chapitre 2)
    • Il préférait la musique classique et les chemisettes à carreaux mais, pour attirer les concupiscences, il devait avoir la tenue wesh-wesh, l'allure racaille, la casquette Nike, visière retournée en prime. — (Antoine Gouguel, Chifoumi ! , Éditions du Frigo, 2011, lêmbëtï 77)
    • La foule était considérable. En tête, dans sa tenue d’apparat, coiffé d'un bicorne, hallebarde sur l'épaule, le bedeau ouvrait le ban. — (Nathalie de BrocLa Tresse de Jeanne , Place des éditeurs, 2012, chap. 2)

Âlïndïpa

Sepe