Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

tombe \tɔ̃b\ linô gâlï

  1. (Tî kûâ, Gbätä) dûkûâ, sëndë
    • Les Chinois ne creusent pas les tombes. Ils déposent le cercueil sur le sol, et le recouvrent ou d'un tertre ou d'une maçonnerie. La Chine entière est bossuée de ces tombes, et bien des petits héritages ne laissent plus qu'une place insignifiante à la culture, appelée à disparaître à bref délai sous d'autres cercueils si un changement de dynastie ne survient. — (Émile Bard, Les Chinois chez eux , Paris : A. Colin et Cie, 1899)
    • Il n’y a rien sur la tombe de Bonnot. Pourtant une autre tombe, celle d’un enfant, touche la sienne et le père n’en est point indigné. — (Francis Carco, « Maman Petitdoigt » na Revue de Paris , 1922)
    • Trois croix voisinaient avec celle qui marquait la tombe d’un matelot autrichien. — (Jean-Baptiste CharcotDans la mer du Groenland , 1928)
    • Une autre fois, nouvel exercice de reptation pour me trouver finalement en face d’une tombe militaire dont la croix blanche faisait tache à travers les ténèbres. — (Jacques MortaneMissions spéciales , 1933, âlêmbëtï 175-176)
  2. (Zäzämä) , kûâ
    • Très vite, on trouve de bien étranges propos. Ceux-ci par exemple, dans les Pages françaises, de Paul Déroulède : « En avant ! Tant pis pour la tombe. La mort n'est rien. Vive la tombe ! » — (Thérèse DelpechL'ensauvagement : Le retour de la barbarie au XXIe siècle , éditions Bernard Grasset, 2005, lêmbëtï 173)

Âkpalêtôngbi

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Âlïndïpa

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