Yângâ tî Farânzi Sepe

Pasûndâ Sepe

tondu \tɔ̃.dy\

  1. fängö
    • De même que les silhouettes féminines aux seins visiblement absents, les cheveux tondus furent abondamment représentés dans la presse illustrée. — (Maryse Choisy, « Dames seules » na illustré par Marcel Vertès, n°23 des Cahiers Gai-Kitsch-Camp , 1932, lêmbëtï 35)
    • Le spectacle si gênant, si bouleversant, des femmes tondues, auquel j’assiste un après-midi place du Théâtre, je ne saurais comme l’interpréter si je n’avais trouvé dans les Lettres le beau poème d’Eluard : « Comprenne qui pourra / Moi, mon remords ce fut / La malheureuse qui resta / Sur le pavé / La victime raisonnable / à la robe déchirée. » — (Mona OzoufComposition française , Gallimard, 2009, collection Folio, âlêmbëtï 174-175)
    • La moquette à damier bleu et noir du bureau d'Avril est plus épaisse que celle de la salle d'attente et fait un peu l'effet d'une pelouse non tondue par rapport à une pelouse tondue. — (David Foster Wallace, L'Infinie comédie , traduit de l'anglais des États-Unis par Francis Kerline, Éditions de l'Olivier, 2015)

Pandôo Sepe

tondu \tɔ̃.dy\ linô kôlï

  1. (Mbumbuse) mbênî zo
    • Tu parles d'un trou, a-t-il songé en se remémorant le faste d'Aviron. La Garde, nous autres antiquaires et quelques tondus qui gagnent leur maigre pitance en nous vendant de quoi vivre, à nous et aux pèlerins. Lesquels se faisaient rares, d'ailleurs, […]. — (Glen Cook, « Annales de la Compagnie noire » na vol.3 : La Rose Blanche , traduit de l'américain par Alain Robert, Nantes : L'Atalante, 2013)

Âlïndïpa Sepe