Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

traduire \tʁa.dɥiʁ\

  1. gbîan
    • Elle était illettrée, et Jacques ne pouvait lui écrire, car elle n’eût osé montrer à qui que ce soit les lettres de l’officier pour se les faire traduire. — (Isabelle EberhardtYasmina , 1902)
    • Lorsque l’interprète me traduisit le sens général du discours, je fus émerveillé. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil , 1929, tome 1 De New-York à Tahiti)
    • Ce n'est pas pour ta pomme, Boutros, déclara-t-elle sur un ton de mépris et en traduisant son prénom en arabe. — (Stefanàkis Dimitris, Jours d'Alexandrie , Éditions La Martinière, 2013)
  2. (Sêboro) (Könöngö) tene ngbanga
    • Je demande que les individus de la famille d’Orléans dite Égalité, soient traduits devant le tribunal révolutionnaire, […]. — (Maximilien de RobespierreDiscours contre Brissot & les girondins , 10 Ngubê 1793)
    • L’assemblée avait décrété, avant la fin de la lutte, que tous ceux qui seraient pris les armes à la main seraient transportés sans jugement ; les autres, traduits devant les conseils de guerre. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
    • Un jour, il « chroniqua » si fort que le Parquet lui réclama des comptes. Traduit en justice pour avoir injurié les « armées de terre et de mer » et prêché la guerre civile, il s’en tira avec deux mois de prison et quelques francs d’amende. — (Victor Méric, « Les Compagnons de l’Escopette » na 1930 , 28-29)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï