Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

trisaïeul \tʁi.za.jœl\

  1. kakâ
    • Mon père, mon aïeul, mon bisaïeul, mon trisaïeul, mon quadrisaïeul, mon quinquisaïeul ont toujours mangé, comme les rats, à la table d'autrui. — (PlauteLe Persan , scène III → dîko mbëtï)
    • Appius Claudius Cécus qui fit venir à Rome les eaux Claudia. Ce fut en 771 ; mais ce censeur ne fut, ni le bisaïeul, ni même le trisaïeul, mais bien le quinquisaïeul d’Appius, si l'on me passe l'expression. — (Œuvres complètes de Cicéron , commentaire de Philip Aimé de Golbéry, en page 428, Panckoucke, 1833)
    • En outre, comme il ne se faisait plus de testaments, il n’y avait plus d’héritages, et les générations nouvelles ne possédaient rien en propre : tous les biens appartenaient de droit aux bisaïeuls et aux trisaïeuls, qui ne pouvaient en jouir. — (Charles Deulin, « Le Poirier de Misère » na Cambrinus et autres Contes , circa 1847–1875)
    • - Est-il de Saint-Georges? demanda l'un des assistans à son plus proche voisin.
      - Sans doute, répliqua celui-ci ; et je puis en répondre, car mon trisaïeul a été le parrain du sien en mil cinq cent nonante-neuf.
      — (Julie de Quérangal, « Philippe de Morvelle » na Revue des Deux Mondes , 1833, tome 2,4)
    • Le trisaïeul de son trisaïeul était l'égal, le compagnon, le pair du roi; à ce titre il est lui-même d'une classe privilégiée, celle des gentilshommes; […]. — (Hippolyte TainePhilosophie de l’art , Germer Baillière, Paris, 1865, âlêmbëtï 134)

Âlïndïpa

Sepe