Bâa ngâ : üniversite

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Sceau de l’université de Bologne, la plus ancienne d’Europe. (1)

université \y.ni.vɛʁ.si.te\ linô gâlï

  1. (Mbäkôro) gbätä, âwaködörö, terê
    • Simon, le maître échevin et l’université de la ville de Metz font connaissance. — (chapitre de la cathédrale de Metz , archives de la Moselle, 1218).
    • Cil qui n’est membre ni d’aucune université, ni d’aucun chapitre, ni d’aucune cité.
  2. (Fängö-yê) (Tôngbi, Mbîrîmbîrî nî) dasêndâgî/dasêndâgï
    • Les philosophes […] estiment que, seuls, les sentiments brevetés par les Universités ont le droit de se manifester dans la poésie. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , 1908, Chap. VII La morale des producteurs, lêmbëtï 338)
    • Cependant, il nous semble important de noter que l’investigation scientifique de cet objet a été principalement le fait de l’université et des organismes de recherche. — (Monique Toublanc, La recherche en sciences sociales dans les écoles de paysage en France , publié dans Projets de paysage, 2 Lengua 2009)
    • Las, dans le petit monde de l’Université, la probité candide ne mène à rien, et l’enthousiasme pèse peu face aux manœuvres misérables de ceux qui ne reculent devant rien pour faire carrière. — (Alexis Liebaert, « On achève bien les profs » na Marianne , n°758, 29 Ngberere 2011, lêmbëtï 85)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï