Bâa ngâ : ûse, use

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

usé \y.ze\

  1. gbägbärä
    • Un habit usé.
    • Ce cheval a les jambes usées.
    • C’est un homme usé.
    • Pierre tint serrés les cordons de sa bourse ; il ne voulut pas entendre parler d’embellissements ; l’ancien mobilier, fané, usé, éclopé, dut servir sans être seulement réparé. Félicité, qui sentait vivement, d’ailleurs, les raisons de cette ladrerie, s’ingénia pour donner un nouveau lustre à toutes ces ruines ; elle recloua elle-même certains meubles plus endommagés que les autres ; elle reprisa le velours éraillé des fauteuils. — (Émile ZolaLa Fortune des Rougon , G. Charpentier}, Paris, 1871, ch. II} ; réédition 1879, p. 81-82)}
    • Une pensée usée.
    • Ce sujet est usé.
    • Une passion usée : Un amour refroidi, diminué par le temps.
    • Avoir le goût usé : Avoir le goût émoussé par le fréquent usage des mets trop épicés ou des liqueurs fortes.
  2. ngbêne, mbäkôro, lûku, gbegbêen

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï