usé
Pasûndâ
Sepeusé \y.ze\
- gbägbärä
- Un habit usé.
- Ce cheval a les jambes usées.
- C’est un homme usé.
- Pierre tint serrés les cordons de sa bourse ; il ne voulut pas entendre parler d’embellissements ; l’ancien mobilier, fané, usé, éclopé, dut servir sans être seulement réparé. Félicité, qui sentait vivement, d’ailleurs, les raisons de cette ladrerie, s’ingénia pour donner un nouveau lustre à toutes ces ruines ; elle recloua elle-même certains meubles plus endommagés que les autres ; elle reprisa le velours éraillé des fauteuils. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , G. Charpentier}, Paris, 1871, ch. II} ; réédition 1879, p. 81-82)}
- Une pensée usée.
- Ce sujet est usé.
- Une passion usée : Un amour refroidi, diminué par le temps.
- Avoir le goût usé : Avoir le goût émoussé par le fréquent usage des mets trop épicés ou des liqueurs fortes.
- ngbêne, mbäkôro, lûku, gbegbêen
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï