Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un vétérinaire.

vétérinaire \ve.te.ʁi.nɛʁ\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. (Nyama) wanganga tî ânyama
    • « Il n’a pas touché à son avoine ; c’est qu’il est malade… Il a les oreilles chaudes, ajouta-t-il en me prenant les oreilles ; son flanc bat.
      — Qu’est-ce que cela veut dire, Bouland ? s’écria le pauvre Jacques alarmé.
      — Cela veut dire, monsieur Jacques, que Cadichon a la fièvre, que vous l’avez trop nourri, et qu’il faut faire venir le vétérinaire.
      — Qu’est-ce que c’est qu’un
      vétérinaire ? reprit Jacques de plus en plus effrayé.
      — C’est un médecin de chevaux.
      — (Comtesse de SégurMémoires d’un âne , 1860)
    • Ayant eu l’occasion, même avant de commencer nos études de Vétérinaire, d’assister à des foires et des marchés, nous avons pu être témoin oculaire d’une foule de ruses employées par les marchands, propriétaires ou maquignons. — (Gabriel Maury, Ses ruses employées dans le commerce des solipèdes , Jules Pailhès, 1877)
    • Le cheval était en honneur alors et les vétérinaires si rares que le maréchal-ferrant qui les suppléait, même dans les villes, usurpait en même temps qu’un peu de leur art un peu de leur dignité. — (Marcel JouhandeauChaminadour , Gallimard, 1941 et 1953, Le Livre de Poche, lêmbëtï 64)
    • — Je vais commencer par t'administrer du Valium pour que tu te détendes, a annoncé la vétérinaire comme elle posait une perfusion sur mon bras sans puce. — (James Patterson, « Max » na tome 3 : Mission : sauver le monde , traduit de l'anglais (USA) par Aude Lemoine, 2009, Livre de Poche Jeunesse, 2010, chapitre 29)

Âlïndïpa Sepe