Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

vêtir \vɛ.tiʁ\ palî tî mbenze

  1. yü bongö
    • La veuve de Henri II était vêtue de ce deuil qu’elle n’avait point quitté depuis la mort de son mari. — (Alexandre DumasLa Reine Margot , 1886, volume I, chapitre VI)
    • Il était simplement mis, mais élégamment vêtu d'un pourpoint de drap violet foncé avec de légères broderies de soie de même couleur. — (Alexandre DumasLes Deux Diane , 1847, chapitre 1)
    • M. Bernard, notaire, sortait de chez lui, à pointe d’aube […]. Il était entièrement vêtu de casimir noir, ainsi qu’il convient à un notaire. — (Octave Mirbeau« La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière , 1886)
    • Et ces costumes, ils se trouvaient étendus dans les séchoirs, numérotés par habilleuses, car on leur donnait aussi des serviteurs pour s’en vêtir ! — (Jean Valmy-BaysseLa curieuse aventure des boulevards extérieurs , Éditions Albin-Michel, 1950, lêmbëtï 179)
  2. (Tî kûne)
    • Installée près du lit, […] elle baisait, une à une, des images de piété insérées dans un livre vêtu de drap noir. — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)

Âlïndïpa

Sepe