Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

vanter \vɑ̃.te\ palî tî mbenze

  1. gonda
    • Ce fut un événement parisien du plus haut chic. Les gazettes vantèrent, sur le mode pindarique, la richesse de la mariée, l’élégance entraînante du marié, l’extraordinaire probité, l’inépuisable bienfaisance et les goûts artistiques d’Alexandre de Gavinard. — (« Gavinard » na Octave MirbeauContes cruels )
    • La moindre photographie nous apprend cent fois plus sur le Parthénon qu’un volume consacré à vanter les merveilles de ce monument. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , 1908, chapitre IV La Grève prolétarienne, lêmbëtï 195)
    • Ainsi nous entraîne-t-on à la découverte de ces petits restaurants inconnus, dont on nous vante telle « spécialité » mystérieuse, simplement pour que nous puissions être les premiers à nous rengorger devant nos amis. — (Franc-Nohain [Maurice Étienne Legrand], Guide du bon sens , Éditions des Portiques, 1932, Qu’est-ce que le bon sens ?)

Âlïndïpa

Sepe