Yângâ tî Farânzi

Sepe

Penzelö tî pandôo

Sepe

ver de terre \vɛʁ də tɛːʁ\ linô kôlï

  1. (Yätï) mbua
    • D’un autre côté, Réaumur et ses émules interrogèrent les eaux douces, et les bryozoaires de nos étangs, les planaires et les nais de nos ruisseaux, les vers de terre eux-mêmes se montrèrent à divers degrés insensibles à des mutilations qui ne faisaient que les multiplier. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « Les Métamorphoses et la généagénèse » na Revue des Deux Mondes , 1856, 2e période, tome 3, âlêmbëtï 496-519)
    • Le ver de terre , par sa présence, aère le sol, le rend perméable à l’eau, favorise l’installation de cloportes, de gloméris et de collemboles. Son abondance révèle une bonne fertilité du sol. — (Nathalie Tordjman, Le tilleul , 96 p., 1995, Actes Sud, Le nom de l'arbre, lêmbëtï 72)
    • Le mercaptodiméthur, molluscicide de la société Bayer, est réputé avoir des effets in vitro sur les vers de terre. En fait, les expérimentations réalisées avec la formulation disponible en France (Mesurol RF) montrent que l'effet de la spécialité sur les vers de terre est non significatif tant au laboratoire qu'au champ. — (R. Courbon, G. Brillant & M.-C. Paternelle, « Lutte raisonnée contre les limaces : Études des effets non intentionnels du mercaptodiméthur sur la faune du sol et sur la qualité de l'eau » na Phytoma, la défense des végétaux , 1997, no 497, âlêmbëtï 22-23)
    • Le lombricompostage est une variante du compostage reposant sur l'utilisation de vers de terre (lombrics) pour consommer et dégrader la matière organique du déchet. — (Remy Bayard & Remy Gourdon, Traitement biologique des déchets , Techniques Ingénieur, J 3 966, lêmbëtï 11)

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