Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Une veste. (1)

veste \vɛst\ linô gâlï

  1. (Bongö) kazâka
    • Les femmes, très coquettes, revêtent en général le costume traditionnel ; la petite veste très serrée moulant le torse et les bras, passe dans la ceinture d’une culotte flottante. — (Jean-Baptiste CharcotDans la mer du Groenland , 1928)
    • Elle revint habillée d’un tailleur noir, hyper-sexy, la veste bâillant sur une poitrine à damner un intégriste. — (Jacob Cohen, L’espionne et le journaliste , 2008, lêmbëtï 18)
    • Entourés de vestons-cravates, Girard et moi détonnions dans nos vestes de denim fatiguées, arborées comme par défi à la barbe de cet obscur aréopage de diplomates culturels à la solennité empesée. — (Louis Hamelin, Écrire : L'humain isolé , Éditions Trois-Pistoles, 2006, lêmbëtï 69)
  2. (Tî halëzo, Zäzämä) tïngö, nzënngö
    • Moi, j’assistais à tout cela en parfait spectateur, car la moindre entame de discussion avec une fille se terminait immanquablement et très rapidement par un snobage, un camouflet, une éconduite, en termes plus crus un vent, une veste ou un râteau. — (Adrien Sarrault, Buisson d’Amarante , éditions Daphnis et Chloé, 2013, lêmbëtï 48)

Âlïndïpa Sepe