Bâa ngâ : vilénie

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

vilenie \vil.ni\ linô gâlï

  1. sïönî
    • […] ; les ouvriers vaincus sont persuadés que leur insuccès tient à la vilenie de quelques camarades qui n’ont pas fait tout ce qu’on avait le droit d’attendre d’eux ; de nombreu­ses accusations de trahison se produisent, […]. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , chapitre VII, « La morale des producteurs », 1908, lêmbëtï 358)
    • La Fontaine et La Bruyère n’énoncent rien de fatal ou d’éternel quant aux vilenies qu'ils peignent. — (Julien BendaLa trahison des clercs'', 1927, édition revue et augmentée, Grasset, 1946, page 194, note 2)
    • Jamais je n’ai vu Paul Deschanel faire une vilenie à qui que ce soit […]. — (Joseph CaillauxMes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse , 1942)
    • Sans omettre non plus les quelques couleuvres que la vie m’avait fait avaler et la collection de contractions du diaphragme et de spasmes d’estomac qui naissent de la découverte progressive de la vilenie des hommes. — (Paul GuthLe mariage du Naïf , 1957, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 190)
    • On pouvait lire tout ce qu’il y avait eu derrière les murs, de lâchetés, de mesquineries, de vilenies et d’hypocrisies. — (Denis Veilleux, Tu pourras venir ici tout l’été , Productions Sainte-Claire, Québec, 2009, lêmbëtï 78)

Âsêtôngbi* Sepe

Âlïndïpa Sepe