Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

violenter \vjɔ.lɑ̃.te\ palî tî mbenze

  1. gbû na ngangü, gi na ngangü
    • On se demande si pour le plaisir de gagner un pari quelque grand qu’il soit, on a le droit de violenter des animaux qui ont, aussi bien que nous-mêmes, la conscience de la douleur qu’ils éprouvent et des mauvais traitements qu’ils reçoivent. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
    • Le coffre-fort ne veut pas être brutalisé, violenté ; il faut user de douceur avec lui, le caresser longuement. Une pince-monseigneur, un chalumeau ? Allons donc. Un petit air de flûte. Le charme opère. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 187)
  2. (Mbîrîmbîrî nî) längö na ngangü

Âlïndïpa Sepe