Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

vite \vit\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. (Mbumbuse) tî lörö
    • Cheval vite comme le vent.
    • Il a le pouls fort vite.
    • « — Eh bien, ils ne sont pas vites !
      « — À cette heure-ci, dit un autre, on n’est jamais vite. C’est comme dans la chanson de Mallarmé, vous savez bien : « Le Monsieur qui montait n’est pas redescendu… »
      — (Paul-Jean TouletMon Amie Nane , 1922)
    • Cet Américain n’était pas l’homme le plus vite du monde. — (Henry de MontherlantLes Olympiques , 1924, Gallimard, 1954)
    • Il y a pour moi une drogue dans la chasteté. Son effet : les mouvements vites. — (Henri MichauxEcuador , 1929, nouv. éd., 1968, Gallimard/L'Imaginaire, 1990)
    • Prince est un bon petit cheval, doux, patient et assez vite. — (Maurice Constantin-WeyerUn homme se penche sur son passé , 1928, réédition Nelson, lêmbëtï 188)
    • Je me souviens de Jacqueline Auriol, la femme “la plus vite du monde”. — (Georges PerecJe me souviens , 1973-1977, éd. Hachette, 1978, fragment n° 173)

Mbasêlî

Sepe

vite \vit\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. hîo
    • Courez vite.
    • Allez vite.
    • Ne parlez pas si vite.
    • Il a très vite fini.
    • Aller vite dans une affaire, Agir inconsidérément et avec précipitation, ne pas agir avec la circonspection et avec les précautions nécessaires.
    • C’est votre faute : vous êtes allés un peu vite dans cette affaire.
    • Ils sont vite allés chercher du secours.

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï