Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

voleur \vɔ.lœʁ\ linô kôlï

  1. zo tî nzï, wanzï
    • Harpagon criant au voleur dès le jardin, et venant sans chapeau. Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ; on m’a coupé la gorge : on m’a dérobé mon argent. — (MolièreL’Avare ou l’École du mensonge , acte IV, scène 7)
    • Le chevalier d’industrie, la fille de joie, le voleur, le brigand, et l’assassin, le joueur, le bohème sont immoraux, et le brave bourgeois éprouve à l’égard de ces « gens sans mœurs » la plus vive répulsion. — (Max Stirner, « citation » na Émile ArmandLe Stirnérisme , 1934)
    • Bref, bredouille la maréchaussée, autant que pour un voleur ou un contrebandier ! On y était bien habitué, allez : pas de semaines qu’une poule disparaisse. — (Jean RogissartMervale , 1937, Paris: Éditions Denoël, âlêmbëtï 20)
    • En plus, son papa, qui a parfois des idées saugrenues, lui raconte l’histoire de la cour des Miracles, le repaire au Moyen Âge de tous les voleurs, tire-laine et autres bandits qui infestaient la ville de Paris. — (Alain ChennevièreLa Cour des Miracles , Magnard, 2002)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï